Solidarité (assistance) envers les "pauvres"; ce texte formidable est conçu par N'gor SENE

C’est de la mascarade. Mieux vaut commencer par chez-soi.

C’est l’esprit de solidarité internationale qui est à la cause des misères de tous les peuples. Je dis bien de tous les peuples. Certains rencontrent des difficultés à subvenir aux besoins de base (se nourrir, se vêtir, boire,…), d’autres ont leur âme détourné du bonheur essentiel.
Cette solidarité se résume à voler 100 et à retourner 10 en passant pour un messie.

Je ne comprends pas comment peut-on croire à une solidarité internationale. Il s’agit juste d’une agrégation des solidarités individuelles. Cette agrégation ne crée pas une nouvelle forme de solidarité différente de la solidarité individuelle. Nous admettons tous que nul n'est gentil ou solidaire ; rien n'est sans contrepartie dans ce monde.

La solidarité que réclame chaque jour les gens n’a pas sa raison d’être. Ils n’ont qu’à demander la justice. Les gens qui se prennent pour des bienfaiteurs, pillent la richesse disponible et se retourne envers les autres pour leur en donner un petite partie au prix de leur liberté. Parce qu’encore une fois rien n’est sans contrepartie.

Il suffisait que ces personnes ne pillent pas les autres qui arriveront ainsi à satisfaire à leur besoin et n’auront pas la mentalité d’assisté. Nul n’est pauvre par essence. On est pauvre par rapport à quelque chose. Ainsi si le niveau requis est fixé par un petit nombre et que les autres n’étant pas libre dans leur conscience, essaye d’atteindre des richesses dont ils n’ont pas besoin, ils seront amenés à prendre plus ce qu’il ne leur faut et donc les autres vont leur demander de les assister.

L’être humain est malheureux parce qu’il se dit doué de raison qu’il n’utilise pas convenablement.

A quoi sert-il de se gaver de choses inutiles à notre existence vitale. Il y a même des gens qui meurent de surabondance alors que d’autres meurent de sousabondance. Cela démontre, l’hypocrisie de l’Humain. L’Homme est naturellement hypocrite.

La vie n’est que logique. Toute personne qui s’écarte de cette logique en subira les conséquences néfastes un jour. C’est comme un chemin tout droit bien balisé, toute personne qui veut aller vite et s’écarte de ce chemin trouvera devant lui des sommets infranchissables. Le pire de ceux-ci est le regret conscientiel. Rien de pire que cela. Donc gardons nous à ne pas être dans cette situation à un moment donné de notre vie. Personnellement, je préfère vivre dans les difficultés que d’avoir des regrets.

Les gens se focalisent trop sur les éléments matériels. Ceci est compréhensible car leur intelligence n’est pas utilisée à bon escient. Tout ce qui n’a pas de contrepartie matériel n’a pas de valeur pour l’homme. Ainsi, on ne se généra pas de ne pas amener un malade à l’hôpital car les frais sont exorbitants tout en disant dès fois que la santé n’a pas de prix.

Le problème n’est pas de savoir ce qu’il y a à faire c’est d’avoir le courage de le faire.

Cela résulte aussi de la définition des priorités pour chacun de nous. Si nous considérons que la priorité est notre image extérieure, si nous puisons notre force, notre énergie des autres ; alors nous allons privilégier les éléments matériels, car ils sont facilement visibles. Cependant, la souffrance intérieure n’a pas d’égal. Il est évident que quiconque fait un geste contraire à la nature le regrettera un jour, ca ne s’aurait en être autrement, sinon chacun posera ces actes.

Le ministère de la solidarité (ou apparenté) est une insulte des plus grave en l’encontre d’une population. Le plus écœurant c’est la manière dont se font les distributions de vivres en périodes difficiles. D’habitude en y regardant de plus prêt, les moyens (véhicules, habillement, perdiems,…) utilisés pour effectuer une distribution sont supérieurs à ce qui est distribué.
Ce procédé renvoie aux assistés qu’ils ne sont pas capables de subvenir à leurs besoins. Il faut dire en passant que ces besoins sont copiés des autres et ne résultent nullement des impératifs vitaux. Ce message aux assistés leur faisant comprendre qu’ils ne sont pas en mesure de subvenir à leur besoin a une conséquence néfaste dans leur subconscient. Cela frêne leur capacité à entreprendre, à décider et à innover. Ils mettent au dessus d’eux un être qui fait office d’interface avec Dieu.

En conclusion, je demande qu’on arrête de fermer délibérément les yeux devant l’effondrement de notre modèle social. Nous perdons chaque jour notre liberté au profit de la masse et de la société.

Ayez le courage de poser vos actes sans attendre rien en retour. Agissez en toute liberté.